Le soleil commençais à disparaître derrière la cime des arbres laissant sa pâle lumière s’affaiblir. Le camp était peu animé, la plupart dormait tandis que ceux encore debout était discret pour ne pas déranger les autres. Je parlais avec un groupe de guerrier autour de quelque pièce de gibier durement mérité. On discutait de tout et de rien, en fait, je n'y prêtais presque pas attention. L'appel d'un d'eux me fit sursauté.

- Ou est passé ta langue lieutenant ? Je te trouve bien silencieux.

Je le regardait sans savoir quoi répondre. C'est vrai que d'habitude je suis le premier à parler, mais pour une raison qui m'était inconnu, j'était obsédé par quelque chose. Quelque chose au fond de moi dont l'origine m'était inconnu. Je me leva et me dirigea vers la sorti du camp tout en répondant à mon ami:

- Désolé... Je ne me sens pas bien... Je vais sortir prendre l'air...

Une fois dehors j'entreprit de faire un tour histoire de me changer les idées. La toison argenté commençais à apparaître de derrière les rayon du soleil qui s'affaiblissait de plus en plus. Tout le monde dit que le "Clan des étoiles" y réside et qu'il nous protègent tous. Les esprit des guerrier le compose en quelque sorte, enfin c'est ce que tout le monde dit. Personnellement je n'y ai jamais vraiment cru. Ne venant pas des clans, me dire que une instance supérieur nous observe et contrôle nos destin était un peu impossible à croire, même si des fois j'aimerais y croire... Pouvoir revoir ceux qui était autrefois ma famille. Leur visage m’apparaisses en flash quelque fois dans mes rêves, mais rien de plus...
A force de rêvassé je ne regardais plus où j'allais. m'éloignant de plus en plus du camp, le sol devenait humide au fil des pas et l'odeurs des marais venu jusqu'à moi me pourrir l'air. Saleté ! J'allais rebrousser chemin quand j'aperçus une magnifique surprise. Le Lac Noir, normalement si repoussant était merveilleusement beau les soirs où les nuages se tienne à l'écart. La douce lumière de la toison argenté et de la lune se reflété sur l'onde de l'étendu d'eau tel un rêve flou.
Je m'assit sur un rocher en surplomb et regarda ce spectacle tout en rêvassant. Un silence absolu régnait dans la forêt jusqu'à se qu'un bruit de pas venant de derrière moi me réveilla de mes pensés. Je me posta sur le rocher et regarda vers l'origine du bruit ma la nuit avait englouti toute lumière ici bas. D'une voix autoritaire je lança à l'intention de l’intrus:

- Si il y a quelqu'un, qu'il se montre !

Ce matin, en me levant de mon panier, j'avais décider d'aller rencontrer des chats sauvages. Je ne comprenait pas ces chats, nous étions semblables et pourtant si différents. Et j'aimerais bien comprendre cette différence. Pourquoi nous l'étions ? Je ne comprend pas vraiment pour le moment, mais j'espère pouvoir comprendre un jour ou l'autre. Je m'étirais et sortie de ma maison, saluant Grignotte au passage, et partit d'un pas assuré vers la forêt.

Maintenant, la nuit était tombée et je m'étais perdue. J'aimerais bien demander mon chemin au aucun chat en vue, ni même aucune odeur. Attends voir, je me suis trompée visiblement. Si, je sens une odeur de chat, je sais que c'est un mâle et je suppose qu'il appartient à un Clan. Les solitaire sentent la charogne, mais ce n'est pas le cas de ce chat-là. Je ne sais pas, c'est une odeur très forte. Je m'approche donc, mais je ne veux pas effrayer le chat.

Je suis la pistes sur plusieurs mètres et enfin, j'aperçois la silhouette à l'origine de cette odeur. Un chat blanc et noir. Je me prend la patte dans le buisson est celui-ci fais un boucan d'enfer. Le mâle tourne la tête vers moi, il m'a repérée. Tant mieux, je n'aurais pas à le sortir de sa rêverie, ainsi. Je sors du buisson, mais ma patte reste coincée dans les ronces, je tire un grand coup et ma patte se libère enfin, au détriment de plusieurs touffes de poils, malheureusement. Je m'approche vers le chat et m'incline poliment, en signe de respect.

- Désolée de vous déranger si tard, mais je me suis perdue, pourriez-vous m'indiquer mon chemin, s'il vous plait, Monsieur le Chat Sauvage ? Je me nomme Wohlbehalten et je vis en ville.

Oui, j'étais venu découvrir les mœurs des chats sauvages, mais je n'en avais croisé aucun dans la journée. Le seul que je croise, c'est quand je me perd. Il est tard, si je ne rentre as cette nuit, mes maîtres vont s'inquiéter pour moi.

Une chatte rousse sortit des buissons vers où j'avais lancé mon appel, mais une de des patte c'etait coincé dans les ronces. Elle reussi a s'extirper en en payant le prix d'une touffe de poiles et venu se poster devant moi tout en Baissant la tête pour me saluer. Qui était-ce ? Une étrangères ça c'est sur, mais je ne reconnaissais aucune des odeurs de clans en elle Et puis les râle nauséabonde des marais m'empêchais de pouvoir distinguer avec precision ca nature, je resta donc sur mes gardes.

- Désolée de vous déranger si tard, mais je me suis perdue, pourriez-vous m'indiquer mon chemin, s'il vous plait, Monsieur le Chat Sauvage ? Je me nomme Wohlbehalten et je vis en ville.

Alors là j'aurais tout vu... Un chat "domestique" quu se ballade sur les terres du clan de l'ombre. Je me disais bien qu'elle était maladroite pour un félin de la forêt. Sautant de memon perchoir je vien à sa rencontre sans dire un mot, ma silhouette découper par les rayon célestes. Je n'avais aucune envie de me battre aujourd'hui et encore moin contre un "Domestique". Je luu mit un petit coup au museau sans sortir les griffes pour... pour m'amuser. Ouais j'etais un peu une ordure quand je le voulais. Bref je lui répondit en enlevant le ton autoritaire que j'avais employé précédament:

- Qu'est ce qu'un Chat domestique fais ici d'abord ? Et puis c'est quoi ce nom Wohlbehalten ? C'est du langage de renard ou quoi ?

C'est vrai ça d'ailleurs un nom pareil c'est bizarre même pour des chat comme eux. D'ailleurs elle voulait que je luului indique le chemin. C'est a dire traversé le territoires du cman de l'ombre puis du tonnerre pour arriver au territoire des bipèdes. Même si je lui disqis le chemachemin je pari qu'elle se perdra en route... j'aurais du rester au camp sa m'aurais évité tout ça...

Le chat blanc et noir descendit de son perchoir et vint face à moi pour me mettre un coup sur le... museau ? De la patte, je frotte discrètement ma pauvre truffe rose qui n'a rien demander. Et quand il me réponds, c'est pour adopter un ton autoritaire. Je ne comprendrais jamais les chats sauvages, je crois. Qu'est ce que j'ai fait au chat pour mériter un tel traitement.

- Qu'est ce qu'un Chat domestique fais ici d'abord ? Et puis c'est quoi ce nom Wohlbehalten ? C'est du langage de renard ou quoi ?

Je suis choquée, outrée. Du langage de renard ? En plus, il ose insulter mon nom ? Odieux personnage ! Je suis terriblement vexée, mais je suis bien obligée de mettre mon orgueil de côté si je veux rentrer chez moi en un seul morceau. Alors je prends sur moi et lisse mon pelage.

- Non, c'est du langage humain. Mes amis m'appellent Halty, si c'est plus simple pour vous.

Je m'attarde plus sur son physique. Il a de jolis yeux bleus et des cicatrices au visage. Je me demande comme il les a eût. Je n'ai pas peur. Pourquoi ? Parce que s'il avait vraiment voulu me faire du mal, il m'aurait attaquer sans hésiter.

- Dites, comment vous avez eut vos cicatrices au visage ? Elles sont plutôt impressionnantes.

Je mentirais si je disais que cela ne m'amusais pas d'un peu malmené ce pauvre chat domestique. Ils nous prennent tous pour des bêtes sanguinaires et nous craignes pour la plupart. Tous ça me faisais bien rire et il est vrai que profiter de cette crainte injustifiée pour m'amusé fais de mot la plus grosse des ordures, mais bon, j'aime bien ça.
Le comportement de la chatte qui se trouvais devant moi n'était néanmoins, en aucun cas comparable à celui d'un domestique normal. Une de ces mauviette se serais déjà enfuit en courant en voyant ma tête et plus simplement, ne se serais jamais aventuré aussi loin de sa douce demeure de bipède ! Rien que d'y penser ça me dégoutte.

- Non, c'est du langage humain. Mes amis m'appellent Halty, si c'est plus simple pour vous.

Ah... Je m'en serais douté vu incompréhension de ce mot.... Comment peut-elle être si naturel devant quelqu'un qu'elle ne connaissait pas et qui pourrais la réduire en charpie a la moindre occasion. Autre cela, elle commença à me scruter comme pour discerner quelque chose ou je ne sais quoi sur mon visage. Cela me rendais mal à l'aise. Je n'ai jamais apprécié mon physique déchiqueté, alors quand quelqu'un me scrute d'une tel sorte je ne peu m’empêcher d'en avoir honte...

- Dites, comment vous avez eut vos cicatrices au visage ? Elles sont plutôt impressionnantes.

... Je resta un moment silencieux, ne bougeant pas d'un poil. Il y a des chose qu'il ne faux pas aborder, surtout quand la personne à qui vous le demander est un guerrier qui peut vous tuer quand il le souhaite. Calme, calme reste calme, elle n'y ai pour rien... Je luttais pour retrouver mes esprit. Des flash du passé m'apparaissaient les un après les autres. Sang, douleurs, morts... Tout était là. Mes griffes labouraient le sol dans l'espoir de remettre les pattes sur terre. Dans un effort je lui répondit du mieux que je pu.

- Tu sais parfois, certain événement nous arrache ce que l'on aime, nous arrache nos idéaux et même une parti de notre âme... C'est ce qui m'est arriver ce soir où j'ai hérité de ces... Cicatrices. Tu n'a pas besoin d'en savoir plus....

Ma question semble le perturber vraiment très fort. Je voyais ses griffes déchirer la tête et je m'en voulais de me montrer aussi indiscrète. Le matou fit quand même l'effort de me répondre.

- Tu sais parfois, certain événement nous arrache ce que l'on aime, nous arrache nos idéaux et même une parti de notre âme... C'est ce qui m'est arriver ce soir où j'ai hérité de ces... Cicatrices. Tu n'a pas besoin d'en savoir plus....

Je m'inclinais en avant, en un geste d'excuse et j'espère que ma sincérité atteindra son cœur. Maman m'a toujours dit que la curiosité était un vilain défaut et que parfois, elle pouvait blesser les gens encore plus fort qu'un coup de griffe. Jusqu'à présent, je n'avais jamais blesser personne. Maintenant, je comprend mieux ce qu'elle voulait me dire.

- Je suis sincèrement désolée de vous avoir blessé. Je ne voulais pas me montrer indiscrète. Je ne vous importunerais plus, c'est promis.

Après avoir renifler l'air pour connaître la direction du vent, je retourna sur mes pas. Peut-être que si je suis la piste que j'ai laissé, je pourrais rentrer chez moi. Après quelques pas, je me retourna et salua respectueusement le mâle, le remercia pour la gentillesse qu'il m'a accordé. Et je partie en direction des buissons

J'était... énerver et triste à la fois. Cela faisais bien des lunes que ça ne mettait pas arriver. C'était comme si mon cœur était à découvert... Comme si les souvenir que j'avais tant tenté de caché au fond de moi était réapparu brisant tout sur leurs passage. J'inspira un grand coup et rouvrit les yeux. La toison argenté brillait dans les cieux entourant la lune de leur lumière céleste et la chatte domestique était encore là, mais elle semblait gêner et s'inclina pour s'excuser. Je m'en voulais un peu en fait. Elle m'avais juste poser une question que tout le monde veux me poser et c'est une des rare à l'avoir osé. Elle n'aurait jamais pu savoir.

- Je suis sincèrement désolée de vous avoir blessé. Je ne voulais pas me montrer indiscrète. Je ne vous importunerais plus, c'est promis.

On peut au moins dire qu'elle à le sens de la politesse pour une domestique. Halty si je me souviens bien de son nom, commença à rebrousser chemin vers le buisson d'où elle venait. Un dernier salut de sa part et elle commença à s'engager dans la forêt sombre. C'est vrai qu'elle m'avais parler pour retrouver son chemin à la base... Il se faisais tard on va bientôt remarquer mon absence. Je me sentais pourtant responsable de la domestique. Un guerrier normal l'aurait chassé sans discuté, mais pas moi. Sans doute car je ne viens pas des clan à la base.
Dans un dernier soupir je rattrapa aisément la chatte dans les bois qu'elle n'avais pas l'habitude d'arpenté à se que je voyais. Une fois derrière elle je lui m'y une pichenette dans l'épaule pour qu'elle se retourne.

- Tu va du mauvais coté cervelle de souris. Pour rentrer cher toi c'est de l'autre coté. Moi c'est Croc Hivernal, Lieutenant du clan de l'ombre. Suis moi, je te raccompagne.

Je continuais mon chemin, quand je sentis une pichenette sur mon épaule. Je me retourne et vois le chat sauvage. Je suis surprise, vraiment. Il m'a rattrapée, allait-il m'aider ?

- Tu va du mauvais coté cervelle de souris. Pour rentrer cher toi c'est de l'autre coté. Moi c'est Croc Hivernal, Lieutenant du clan de l'ombre. Suis moi, je te raccompagne.

Qu'est ce qu'il vient de dire ? Il me raccompagne ? Clan de l'Ombre ? Ce sont ces fameuses troupes de chats sauvages qui nous ont chassées moi et ma soeur ? Au moins, tous ne sont pas comme ça, la preuve, l'un d'eux m'aide. J'aimerais lui poser des question à propos de sa vie, mais c'est indiscret et j'ai dit que je l'importunerais plus. Je le remercie poliment et suis donc Croc Hivernal.

Nous marchons dans le silence pourtant un tas de questions me brûlent les lèvres. Qu'est-ce qu'un lieutenant ? Comment est la vie en Clan ? Plein de questions dans ce genre. Sera-t-il furieux ou ravi que je m’intéresse à son style de vie ? Il avait déjà l'air surpris de voir une chatte domestique si loin dans la forêt, si en plus elle s'intéresse à son mode de vie plutôt que de trembler, il en sera ravi. Je touchais mon collier, heureusement pour moi, il n'avait pas de clochette et donc ne se voyait pas. Il était caché dans mes poils longs. J'aimais bien mon collier, d'autant plus que j'arrive très bien à l'enlever. Mais ce n'est qu'un détail. Pourquoi je touche mon collier ? Pour me donner du courage. Le courage de parler.

- Dites, Croc Hivernal, c'est bien cela ? C'est comment la vie dans les Clans ? C'est quoi un lieutenant ? En ville, beaucoup de rumeur circulent sur les Clans : vous mangeriez les chats domestiques trop aventureux, vous faites vos griffes sur des os de lapins, il parait même que vous vous battez tous le temps. C'est vrai ?

Je ne voulais poser qu'une question, voilà que toutes sortent. Je m'excuse auprès du matou et reprends la marche, tête basse. Je suis vraiment trop curieuse.

Qu'est ce que j'était encore en train de faire. Si on me voyait avec elle j'en prendrais pour mon grade, déjà que certain avait protesté pour le fait que je sois lieutenant. Pourquoi ? Car j'était un chat airant. Un guerrier qui n'était pas originaire du clan. Même maintenant certain me traite encore comme un étranger. Un frisson me parcourra l'échine quand je pensa à notre guérisseur. Ce vieux matou décharné et moi ne nous somme jamais aimé. Je me rappel lors de ma première assemblé lorsque je me suis battu avec ce dernier quand il n'était pas encore guérisseur. De sombre souvenir d'un chat qui maintenant ne fais que grogner dans son coin. Il me faisais un peu de la peine... ou pas !
J'était un peu perdu dans mes pensé et je ne prêtait pas vraiment attention a Halty et quand celle-ci s'arrêta je ne le remarqua pas de suite. Quand je me retourna elle me questionna sur tellement de chose à la fois.

- Dites, Croc Hivernal, c'est bien cela ? C'est comment la vie dans les Clans ? C'est quoi un lieutenant ? En ville, beaucoup de rumeur circulent sur les Clans : vous mangeriez les chats domestiques trop aventureux, vous faites vos griffes sur des os de lapins, il parait même que vous vous battez tous le temps. C'est vrai ?


Après avoir fini son interrogatoire elle s'excusa et commença à reprendre la marche. J'était... surpris ? La chatte si polie et réservé que je connaissais venait de me montrer l'une de ces face caché. Une fois à ma hauteurs je commença à rire discrètement. La curiosité est un vilain défaut, mais bon autant lui répondre pour passer le temps. Je me mit à sa hauteur et commença à lui faire une rapide explication.

- Tu est bien curieuse pour une simple chatte domestique dit moi ? Bref en clans, la vie n'est pas toute rose. On doit chassé pour manger, combattre pour protéger nos terre et quand le froid et les maladie arrive prier pour que nous y survivrons. Dans la forêt il y a quatre clans. Celui du Tonnerre, de la Rivière, du Vent et le mien, celui de l'Ombre. Chacun son constitué d'un chef, d'un lieutenant qui le seconde et qui prendra sa place, d'un guérisseur, de plusieurs guerrier et d'apprentis en plus des chaton et des reine qui accouche. Bref tout est organisé.
Après les chat domestique tout dépend de si ils ont l'air goutu. Et si nous nous battons c'est pour protéger nos terre des autres clans. A tu d'autre question avant que je te mange ?

Il rit ? Je ne rêve pas, il est bien entrain de rire là. Est-ce qu'il se moque de moi ? Ce sont mes questions qui le font rire ? Les réponses paraissent-elles qui évidente que ça ? Fort possible.

- Tu est bien curieuse pour une simple chatte domestique dit moi ? Bref en clans, la vie n'est pas toute rose. On doit chassé pour manger, combattre pour protéger nos terre et quand le froid et les maladie arrive prier pour que nous y survivrons. Dans la forêt il y a quatre clans. Celui du Tonnerre, de la Rivière, du Vent et le mien, celui de l'Ombre. Chacun son constitué d'un chef, d'un lieutenant qui le seconde et qui prendra sa place, d'un guérisseur, de plusieurs guerrier et d'apprentis en plus des chaton et des reine qui accouche. Bref tout est organisé.
Après les chat domestique tout dépend de si ils ont l'air goutu. Et si nous nous battons c'est pour protéger nos terre des autres clans. A tu d'autre question avant que je te mange ?

Je m'arrêta net et le regarda, choquée, les oreilles en arrière et une patte levée. Va-t-il vraiment me manger ? Non, je ne pense pas. Je suis vraiment trop naïve parfois. Un peu idiote aussi. Comme s'il allait me manger. Il l'aurait fait depuis longtemps, je pense sinon. Je secoua la tête et repris ma marche.

- Désolée, j'ai poser une question stupide. Si tu aurais vraiment voulu me manger, tu l'aurais déjà fait. Pour un chat sauvage, tu n'est pas méchant en fait. Tu aide même une chatte domestique à rentrer chez elle.

Je lui fais un sourire, non pas pour le charmer mais pour le remercier. Je ne vois pas vraiment l'intérêt de charmer un chat sauvage. Il doit avoir une compagne et une famille. Ça ne me regarde de toute façon pas.

- Mais Croc Hivernal, vous êtes nombreux, et vous devez aller chasser souvent. Votre réserve de gibier doit être incroyable !

A la fin de mon discours Halty s'arrêta nette le regard choqué comme si elle avait vu un monstre. Elle m'avait vraiment pris au sérieux quand je lui avais dit que j'allais la mangé ? Je me retenu de rire, même si l'envie était tentante. Bien naïve la domestique à se que je vois. Je m'arrêta pour l'attendre et leva le museau au ciel pour regarder les étoiles. Leurs douces lumières éclairaient les cieux tout en se reflétant dans mes yeux. Ces infimes poussières qui planaient au dessus de nos têtes, nous guidaient de leurs lumière sans que l'on ne sans inquiète. Une fois arriver devant moi, la domestique s'excusa de nouveau.

- Désolée, j'ai poser une question stupide. Si tu aurais vraiment voulu me manger, tu l'aurais déjà fait. Pour un chat sauvage, tu n'est pas méchant en fait. Tu aide même une chatte domestique à rentrer chez elle.


Moi gentil. Elle m'aurais dit ça une trentaine de lunes plus tôt ca ne m'aurais pas surpris mais maintenant c'est différent. Je n'était pas gentil, la preuve à chaque instant seul je rêvais de vengeance, d'une manière de retrouver celui qui m'avais fais subir ce calvaire et lui faire payer. J'était de nature gentil, mais c'était fini. La seul raison pour laquelle je l'aide c'est qu'elle pourrait m'attirer des problème si elle se perdais dans le territoire du clan. C'est vrai après tout, je ne suis pas si... Gentil ? En tout cas je ne le suis plus....

- Mais Croc Hivernal, vous êtes nombreux, et vous devez aller chasser souvent. Votre réserve de gibier doit être incroyable

Une question encore. Vraiment curieuse comme je disais... Le chemin était encore un peu long. Sa ne me coutera rien de lui répondre. Dans un soupir discret je lui répondit.

- Déjà arrête de t'excuser, tu va me donner des mots de tête et plutôt crever que d'aller voir notre guérisseur. Sinon non, notre réserve de gibier est plutôt médiocre. Moins en saison des feuille nouvelles et presque introuvable en saison hivernal. C'est d'ailleurs pour ça que les clans se battent la plupart du temps. Le gibier se faisant rare, si un clans en vole ou tente de le faire des conflit se créaient et débouche sur des guerre si les chose tournent mal. Comparé à ta vie, nous somme à l'opposé comme tu le vois.

Il soupire. Je dois l'ennuyer avec mes questions, mais s'il connaissait mes raisons, serait-il aussi ennuyé ? Je ne sais pas. Je me demande si quelque chose peut impressionner les chats sauvages. C'est une bonne question. Mais je vais arrêter avec mes question, j’ennuie le mâle bicolore.

- Déjà arrête de t'excuser, tu va me donner des mots de tête et plutôt crever que d'aller voir notre guérisseur. Sinon non, notre réserve de gibier est plutôt médiocre. Moins en saison des feuille nouvelles et presque introuvable en saison hivernal. C'est d'ailleurs pour ça que les clans se battent la plupart du temps. Le gibier se faisant rare, si un clans en vole ou tente de le faire des conflit se créaient et débouche sur des guerre si les chose tournent mal. Comparé à ta vie, nous somme à l'opposé comme tu le vois.

Comparé à ma vie ? Que sais-tu de ma vie ? Rien, tu n'en sais rien, puisque je ne t'en ai pas parler. Je le fixe de mes yeux vairons, et là, je me met un peu en colère, malgré moi. Je ne suis vraiment pas méchante, mais quand quelqu'un se permet de juger ma vie sans la connaître, ça m'insupporte, tout bonnement.

Cette fois-ci, je m'arrête et m’assoit, dardant sur le matou des yeux brûlant de colère, je grogne légèrement mécontente. Oui, tu m'a blessée et c'est le message que je veux te faire passer. Je reste assise, un temps relativement court avant de me relever et de reprendre ma marche, rattrapant le mâle.

- Ne vas pas croire que j'ai été domestique toute ma vie. Cela ne fais deux quarts de lune ont passés depuis que j'ai été recueillie par des Bipèdes et que j'ai reçu un nom. Avant j'étais solitaire. On ne juge pas une vie que l'on ne connais pas.

J’accélérais légèrement le tempo. La frontière n'étais plus très loin, on pouvait sentir l'odeur de la route pas très loin de la. Je n'aurais qu'à la longer pour rentrer chez moi.

Je continua ma marche comme si de rien n'était. Il fallait que je rentre au plus vite. Quand l'aube se lèvera, je devrais désigner les patrouille, donc si je ne suis pas là, Etoile Embrasé va encore me passer a tabac. Au pire ce n'est pas comme si il me faisais peur cette grosse boule de poile ambulante. Je n'avais pas remarquer que Halty ne me suivais plus. Un grognement se fit entendre derrière moi et quand je me retourna pour en voir l'origine je vu ce que jamais je n'aurais pu imaginer. La chatte me toisais d'un regard à faire peur n'importe quel guerrier avisé. J'avais dit quelque chose qu'il fallait pas ? On m'avais un jour dit que rien n'était plus en colère qu'une femelle en colère. Même si il s'agissait d'une domestique je n'avais pas vraiment envie de me frotter à elle... Elle reprit ça marche et me passa devant comme si de rien n'était.

- Ne vas pas croire que j'ai été domestique toute ma vie. Cela ne fais deux quarts de lune ont passés depuis que j'ai été recueillie par des Bipèdes et que j'ai reçu un nom. Avant j'étais solitaire. On ne juge pas une vie que l'on ne connais pas.

C'est pas ce que tu faisais il n'y à même pas quelque instant ? Je ne comprendrais jamais les femelle... Elle passe du coté obscure en à peine un crissement de griffe. Elle commença à accéléré l'allure. L'odeur du chemin du tonnerre indiquait que là bande noir n'était plus très loin. Elle pourra enfin rentrer cher elle et je pourrais enfin rentrer me reposé un petit moment. Je resta silencieux le reste du trajet jusqu'à ce que le bruit des montres se fit entendre. L'aube commençais à sortir à la cime des arbres. Mon travaille de guide touristique s'arrêtais là. Au dernier arbres je fit signe à Halty.

- C'est là que nous nous séparons, Halty. Compte pas sur moi pour aller plus loin. Ta eu de la chance que je n'avais pas faim ce soir. Essai de pas te perdre à nouveau où je serais obligé de revenir t'escorté.

Je termina ma phrase en lui mettant une petite pichenette sur le museau avec ma queue. Je commença à repartir vers l'intérieur de la forêt après ça.

Nous étions au bord de la route. Croc Hivernal me fais un signe, je m'arrête à son côté. Je lui lance un regard interrogateur.

- C'est là que nous nous séparons, Halty. Compte pas sur moi pour aller plus loin. Ta eu de la chance que je n'avais pas faim ce soir. Essai de pas te perdre à nouveau où je serais obligé de revenir t'escorté.

Encore une pichenette ? Décidément, ce mâle adorait m'en mettre. Je le remercia d'un signe de tête et l'observa partir avant de lui crier :

- Merci pour tout Croc Hivernal ! Je reviendrais te voir, c'est promis !

Je repartie chez moi. En longeant la route, c'était plutôt facile de revenir en ville. Je suis bête à des moments. Je rigole légèrement de moi et réussit à me repérer facilement pour rentrer chez moi. Grignotte me salue et me demande pourquoi j'ai mis autant de temps pour revenir. Je lui explique brievement ma mésaventure et rentre chez moi me coucher dans mon panier. Reverrais-je ce chat ? Je pense que oui, je l'apprécie et j'espère que lui aussi.

[RP fini pour ma part, veux-tu répondre ou pas ?]