Je me réveillais vers midi ce matin.
Après avoir vagabonder cette nuit aux quatre chênes, j'avais eu droit a la grâce matinée.
Je m'étirais donc devant la pouponnière après avoir demander la permission de sortir.
Permission que j'ai eu du mal a avoir a cause de mes bêtises de hier... Je ne peux que m'en vouloir, c'était mon idée.
Mon regard vert bleu se posa sur une petite chatonne couleur chocolat qui m'étais familière.
Petite Baie ?
C'était bien la première fois que je devais voir la petite femelle dehors.
C'était sans doute sa première sortie hors de la pouponnière.
Cela me fit baisser un peu les oreilles et attrister mon regard.
Pourquoi ? Ma première sortie n'était pas la plus joyeuse que j'ai connu, loin de là.
Se faire rejeter, traiter de solitaire, s'enfuir en pleurant du camp dés le premier jour dehors, apprendre que votre mère était une errante qui aimait votre père, un traître aux yeux de certains qui vous ment sur vos origines... Tout ça en un jour... C'était une sortie "choc"...
Je revenais à la chatonne et vit à ma surprise que deux chatons bien plus grand âgé de 5 lunes que je connaissais assez bien.
L'un deux, Boule de Chardon me tapait systématiquement sur les nerfs.
C'était le premier a m'avoir traiter de sale solitaire.
Mais que faisait-il ? Que voulait-il a Petite Baie ?

Tu es bien faible toi... Disait-il en ricanant
Pourquoi le clan du vent aurait besoin d'une faiblarde et ignorante comme toi ? Tu n'est qu'une bonne a rien !

Ses paroles me mettait hors de moi.
Pourquoi embêtait-il la femelle ? Elle n'avait aucune raison d'être haïe, surtout pas par cette cervelle de lapin !
Je m'approchais de plus en plus vite et finit par être devant le fautif, Petite Baie derrière moi.

Arrête toi, elle ne t'as rien fait ! Pourquoi t'attaques tu au plus faible que toi ? Tu n'es pas capable de te mesurer au gens de ta force ?

Le petit mâle devant moi feula.

Ça n'en vaux même pas le coup, pourquoi se battre contre de bouches inutiles a nourrir ? Aller viens dit-il a son camarade.

Ils se retirèrent tout les deux plus loin dans le camp.
Je me retournais vers Petite Baie qui n'avait rien dit.
J'attendais le moindre mot mais elle continuait de me regarder avec ses yeux d'or.
Alors je brisais le silence.

Ça va... Petite Baie ?

Ce matin quand je me réveillais il été encore tôt, je voulus sortir dehors avant que la ponponierre se réveille. Je voulais aller dehors pour voir a quoi le clan resembler mais comme je savais que si je demandais la permission on me dirait non, je déssida donc de sortir en fessant attention de ne réveiller personne. Dehors le soleil pointer a pêne le bout de son nez comme le clan étaient encore endormi j'en profitais pour me coucher dans la clairière et observer les alentours, je resta comme sa un long moment, le paysage été si beau et magnifique que je ne bougés pas. Mais se moment paisible ne durât pas longtemps deux chatons d'environ 5 lune vinrent me voir pour m'embêter. Je ne répondais pas à sa provoque et l'ignora. A cette instant un chaton se plaça devant moi et me défends. Les chaton partirent en disant que se n'ettaient pas la pêne de se batre pour une bouche inutile a nourrir. Le chaton se retourna vers moi et ej reconupetit Jais..

ça vas... Petite Baie?

Plongeait dans mes pensés de tristesse je relevas la téte les arme aux yeux et lui répondis.

ça n'ira jamais...

A se moment je me mis à pleurer et je me retourna vers la ponponierre sur ma gauche les deux chaton me regarder
en rigolent, je pleura de plus belle. Petit Jais s'avansa vers moi mais je lui dit de me laisser que je voulais être seul.
Il tenta de parler mais je me mis a courir vers la ponponièrre plein de penssé en téte je me disait que finalement
peut être que c'était moi qui avait un problème j'était peut etre vraiment faible.
Une fois dans la ponponiere je me coucha. Peut t'etre devrai-je partir si je suis un fardau pour le clan..

La petite boule de poil releva son regard tremper de larmes vers moi.

ça n'ira jamais...

Je m'avançait vers elle mais elle me dit qu'elle voulait être seule.
Elle s'enfuit vers la pouponnière en pleurant de plus belle, en rythme parfait avec les ricanement agaçant des deux cervelles de lapin qui regardaient la scène avec envie.
Je me mis a suivre la pauvre petite et regarda en passant ces chatons cruels.

Vous n'avez vraiment pas de coeur !

Je n'attendis pas leurs réponse et me dirigeais vers l'entrée de la pouponnière.
Petite Baie était recroqueviller dans un coin en train de verser toutes les larmes de son corps.
Elle marmonnait des paroles et j'entendis des choses qui ne m'avait pas plus, elle pensait qu'elle avait réellement des problèmes et qu'elle devait peut être partir.
Je m'approchais.

Mais non ne dis pas ça...

Elle s'était retourner vers moi le regard rempli de larmes.

Si tu pars, ces deux cervelles de lapin auront le sentiment d'avoir gagner.

Je m'asseyais a côté d'elle et passa ma queue noir sur ses épaules.

Chacun a sa force, chacun a ses qualités... Je vais te dire, il n'y a pas de défauts sans qualités.
Tu dois avoir confiance en toi Petite Baie.

Je la regardais; je regardais ces yeux orange me regarder.

Je vais te confier un secret, avec moi aussi ils n'étaient pas gentil non plus et j'ai été influencer par leur parole le premier jour ou j'étais dehors, je me suis enfuis du camp parce qu'a cause d'eux j'ai appris que ma mère n'était pas du clan c'est pour ça qu'ils me déteste. Mais j'y ai réfléchis, si tu laisse leurs mots t'atteindre, tu n'arriveras a rien. J'essaye de tenir le coup et tu vois tout a l'heure Boule de Chardon ne m'a pas répondu directement. Je suis sûrs que toi aussi tu en es capable Petite Baie, montre a tout le monde que tu es forte !

Je faisait en sorte que mon visage exprime le plus de sincérité.

j'étais encore entrain de pleurer quand Petit Jais vint me voir pour me ré conforter.
Il me dit que lui aussi il se faisais embeter par ces idiots de chatons et qu'il ne fallait pas se laisser faire.

Il me regarda dans les yeux, je senti un sentiment que je n'avait jamais senti au paravant,
mon cœur battais a la chamade, plus je le regardais plus mon cœur s'emballait.

Quelle est donc se sentiment ? me murmuraige a moi méme.

Une chaleur m'enivrer j'avait l'impression de floté.
je me calma et sur ses mots je sorti de la ponponierre.
je regarda de droite a gauge et je vit les deux chaton qui m'avait embeter,
je me dirigea vers eux à pas feutrer, ils etaient tourner ils ne pouvaient pas me voir.
Leur queus étaient juste en face de moi, je les regarda et eu une idée,
je mis mes deux pates avant au dessus de chacune des queus et d'un geste rapide
je sortir mes grife et les plantas dans leur queu.
Ils crachère de douleur et se retournairent vers moi, je les regarda dans les yeux, mes
griffes étaient toujours planter dans leur queu.
Pour une fois je n'avait pas peur et j'apuyas encore plus fort sur mes deux pattes.
Les deux chatons me regardairent avec colére ils s'apreter a m'envoyer valser mais je roula sur le coter et je vis Petit Jais courir en notre direction.